[Présentation] ~ Hizamo Chiikei

Me voilà maintenant entrain de vous parler de moi en détail et je vais même vous raconter le plus en détails possible mon histoire. Ils sont puissant ces cachets que vous nous donner pour que l'on vous parle de nous hein ? Bon passons, alors voilà mon histoire. Je suis né il y à de cela trente et un an sur une petite île qui à toujours son petit charme, Damas Los. Elle se trouve sur South Blue l'une des quatre mers de ce globe. Je m'appelle Hizamo Chiikei, mon père est un banquier respectable quand à ma mère je ne l'ai jamais connue malheureusement puisqu'elle est décédé le jour de ma naissance. Mon père ne m'en à jamais voulu, contrairement à d'autres personnes ou c'est le cas. Depuis lors j'ai pu construire avec mon père une véritable relation, il fait parti des personnes qui me sont les plus importantes et à qui je dois tout. Merci Papa ! Si il y à une chose que je dois lui reprocher à mon père c'est le fait de n'avoir jamais trouvé le temps pour m'opérer de mon sixième orteil...

Mis à part ça je n'ai pas beaucoup de souvenir de quand j'étais un nourrisson, mais du peu qu'il me reste je me rappel que mon père rentrer vraiment très tard du boulot et que donc c'était une nounou qui s'occuper de moi. Enfin, une nounou c'était vraiment bizarre car plus j'essaye de m'en souvenir et plus j'ai l'impression de me rappeler un Okama. Bah ouai vous en connaissez beaucoup des hommes qui s'amuse avec leur plumeau à astiquer tout les objets de votre père en petite jupette ? Sa n'empêchai pas qu'il était super sympa avec moi, il me passé tout mes caprices. Qu'est-ce que l'on est ingrat quand même quand on est gosse. Le nom de ma nounou était d'ailleurs très révélateur de ces tendances il s'appelait Papla touchemoila. J'étais son petit sucre d'orge, maintenant que j'y pense ça fait vraiment froids dans le dos.

Ce que je me souviens le mieux durant mon enfance c'est lors de mes premières sorties en ville. Je n'avais que sept ans mais je me débrouillai déjà comme un chef et c'est à cette période que je fréquentai un groupe d'enfants de mon âge. Ils devinrent mes amis et l'un d'eux fut mon meilleur ami pendant de longues années. La fille du groupe et celle que j'épousai quelques années plus tard. Ensemble nous fessions les quatre cent coups et c'est arrivé à de nombreuses reprises que mon père me colla des gifles pour toutes ces conneries. C'est avec ces amis que j'ai commencé à grandir, à prendre conscience de certaines choses, de certaines valeurs. Je me rappellerai toujours l'une de nos conversations que tout gamins se posent au moins une fois quand on l'on se retrouve à parler de son avenir. Que veux-tu devenir quand tu seras plus grand ? Nous avions ceux qui voulaient êtres des marines, d'autres des supers stars et d'autres encore des pirates. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment là je me rappel avoir répondu que la seule chose qui pouvait vraiment m'intéresser s'était être heureux et surtout apporter un peu de bonheur à chacun. Sans oublier la phrase "J'espère que l'on sera les meilleurs amis du monde et pour toujours". Quelle immaturité quand j'y pense, mais cette phrase nous laisser tant rêveurs.

Mon père lui ne cherché pas à faire de moi quelqu'un, il voulait que je devienne celui que je voudrais être. C'est quelques années plus tard que cette question me vint plus sérieusement en tête. Lorsque des pirates ont fait parler d’eux sur le journal, comme étant les plus forts du monde et les plus puissants après avoir massacré des peuples entiers. C'est à partir de ce moment là que les notions de bien et de mal prenaient leurs importances à mes yeux. Je n'ai était qu'un ado âgé de douze ans, mais ces choses me paraissait importantes, d'autant plus que certains de mes amis avaient la ferme intention de devenir pirates, des bandits et moi qu'est-ce que je voulais être ? Toujours vivre dans le bonheur. Mes envies passées pour être ridicule tout comme moi, d'autres enfants en venaient même aux mains pour eux si je n’étais pas un futur pirate plein d'ambitions j'étais un raté. Tout le monde parlé de cette nouvelle vague de piraterie, c'était la mode et tout le monde se devait d'être à la mode. Devenant la risée de tout le monde, je préféré me mettre à l'écart pour ne pas aggraver mon cas. Ouais j'étais un petit pleurnichard qui ne savait que pleurer dans les bras de son père déjà bien riche

Plus le temps passé et plus j'en venais à détester tout ces pirates, car je n'avais pas cette ambition d'en devenir un, je n'avais de l'ambition pour rien du tout d'ailleurs. Pour moi j'étais un jeune garçon qui voulait juste passer du bon temps avec ces potes. Je ne m’étais pas dit que mes potes avaient grandi plus vite que moi. C'est à l'âge de mes seize ans, que je me décidai afin à devenir quelqu'un, ces pirates qui m'avait gâché plus ou moins mon enfance m'avaient décidé à devenir un membre du gouvernement.


Et ouais, la marine venait de recruter l'un de leurs meilleurs soldats dans le futur avenir. Bon ils ne le savent pas encore hein, ils leurs faut du temps avant de réaliser. Quoi quinze ans que je suis là bas pour finalement ne pas avoir un grade bien important ? Ouais bon faut dire que j'ai un peu glandouillé là-bas, puis au moins les cinq premières années ne comptent pas. Elles m’ont servies à me formé à apprendre plusieurs choses. Sa forme un homme, je vous jure j'ai complètement changé, c'est d'ailleurs à cette période que mon gout prononcé pour les arts martiaux me vinrent. Tellement que s'en est devenu ma façon d'apporter ma justice. Ouais moi je ne suis pas le genre de mec à vouloir me battre avec un sabre ou un revolver. Dans ces styles d'art martiaux j'en maitrise plusieurs, bah faut dire que quinze ans à s'entrainé pendants des nuits et des jours quelques fois sa forge un homme. Je vous ferais un listing le moment venu.

Ces premières années mon aussi appris à me découvrir et à découvrir le monde qui nous entour, que tout n'est pas forcément bien, mais que tout n'est pas forcément non plus. Chaque être vivant à sa propre vision de la vie et des choses qui nous entoure. C'est ce que j'ai appris, comme il me fallait choisir un camp j'ai choisi celui de la justice. Les sens de justice, de liberté, d'amour et de guerre ont une importance capitale maintenant pour moi. Mon père avait cautionné ce choix ce qui ne fut pas le cas de mon meilleur ami. Il ne comprenait pas qu'un mec comme moi qui était son meilleur pote puisse avoirs des avis aussi divergents que les siens. C'est lors d'un soir qu'à eu lieu notre première et surtout dernière prise de bec, comme on dit. Car suite à cela il ne m'a plus jamais adressé la parole, c'est impressionnant comme on peut perdre rapidement un ami si proche tout ça parce que l'on ne partage pas les même idées sur la politique du monde.

A cette même période je me rapprocher de plus en plus de ma futur femme : Julia. Cette jeune demoiselle brune aux yeux pétillants et aux formes généreuses, elle avait tout pour plaire depuis plusieurs années déjà, mais c'est qu'à mes dix sept/dix huit ans que la question de sortir avec elle me vient en tête. C'est vrai que la marine me prenait beaucoup de temps, mais les jours ou j'avais des permissions croyait moi que je me faisais pas prier ! C'était une femme merveilleuse, je m'en veux encore de l'avoir laissé partir. Ces erreurs ont un goût amer, c'est le côté de la vie que je ne préfère pas me rappeler. C'est à l'âge de vingt ans que la décision de me marier à cette magnifique femme me vint. Cette soirée que j'avais organisé pour elle était merveilleuse je me rappellerai toujours la vue de ses chaudes larmes qu'elle m'adressa en guise de remerciement. Ce fut les même que je déversai quatre ans plus tard quand elle m'annonça qu'elle était enceinte de Lillya notre petite fille. Je vous parlerai plus tard de mon petit bout de choux.

Entre temps à vingt quatre ans maintenant il était normal que la marine commence à me confier des missions plus importantes que celle de nettoyer les parquets ou les vitres de la base de Dama Los. Enfin le gout de l'aventure me vint, je me rappel les première missions que j'avais étaient si palpitantes et dangereuses. Je mettais ma vie chaque jour en danger. Ouais faut dire que ce n’est pas évident d'être en charge de l'entrainement du matin et de faire un truc que ses potes ne vous fera pas regretter dans les vestiaires ou pire dans les douches ... je ne dirai d'ailleurs aucuns mots sur les mauvaises chutes de savonnette lors des douches collective.

Heureusement pour moi de vraies missions me furent confié quelques temps après. Des missions ou l'arrestation de forbans se devait d'être faite. Ces durant ses missions quelques années plus tard à l'âge de vingt sept que je fis l'acquisition d'un fruit démoniaque. Étant le supérieur du groupe d'hommes que l'on m'avait confié et étant celui qui l'avait trouvé, mes supérieurs me permis de le garder. Leur argumentation était d'ailleurs flatteuse à mon égard. Ils étaient contents de mon travail, de mon ardeur au travail et de mon sens de la justice. Certains disaient même en parlant de moi que si j'arrivai à vivre au delà de la quarantaine et bien je pourrai faire changer le cours de certaines choses. Faut dire que c'était à cette période là qu'une seconde vague de piraterie eu lieu bien plus grande que la première. Il fallait des hommes avec un certain pouvoir au sein du gouvernement pour contrer ces forbans. Ils pouvaient donc compter sur moi les vioques ! D'autant plus que les pouvoirs du fruit que j'ingéra quelques jours plus tard me donna des pouvoirs incommensurable. Avec de l'expérience, je pourrais devenir un grand homme.


Les choses pour moi se passaient de mieux en mieux mes amis. J'étais passé Sergent à l'âge de vingt huit ans, un pouvoir digne d'un dieu, ce qui me rendait plus classe d'ailleurs et ce n'était pas désagréable. Mais ce qui me procurait le plus de plaisir comme vous pouvez vous en doutez c'était ma petite famille, mon épouse adorable et belle comme un cœur et mon petit ange. Ma petite fille, qu'est-ce qu'elle m'est réconfortante quand tout va mal pour moi, oui sa m'arrive, il me suffit de penser à elle à son visage à ses rires à ses pleurs à ses bêtises pour me redonner le moral et la pêche dont j'avais besoin. Si ce n'est pas le cas pour vous je vous souhaite d'être parents car c'est la plus belle chose au monde.

Par contre comme tout le monde le sait si bien, le bonheur ne dure qu'un temps et ma vie ne tarda pas à s'écrouler devant moi. Ma femme ne supportait plus la pression de me voir partir pendant des jours pour des missions que l'on me confiait. Elle ne cesser de me rabâcher sans cesse que ce n'était pas une vie pour elle et surtout pour notre fille. Ce n'était pas normal que notre petite fille n'arrête pas de lui demander si Papa ne va pas avoir d'accident cette fois-ci. C'est tout du moins la version que j'ai eu, mais je sais bien que je n’étais pas un homme facile et peut être même qu'elle aller voir ailleurs je ne sais pas... le fait d'y repenser me fait encore du mal. Le plus dure à digérer je crois c'est le moment ou l'on vous apprend, alors que vous vous en doutiez puisque la logique le voulez, que l'on vous enlève la garde votre fille car vous n'avez pas le train de vie qu'il est bon d'avoir. J'avais perdu mes deux raisons de vivres, en plus Julia parti s'installer quelques mois après sur Shabondy chez un Tenryubito quelle avait rencontré je ne sais comment. Sa richesse et son pouvoir l'avait surement attiré.

Durant ces deux années mon moral en pris un sacré coups et je fit même arrêté un certain temps, car j'avais manqué de me faire tuer durant une mission de haute importance. Je n'étais plus bon à rien et mon avenir s'assombrissait de jour en jour. Le monde ne sembler ne plus avoir de bonheur à m'accorder. C'était un combat que je mener contre moi-même. J'avais trente ans, seul privé de ma famille sans aucunes nouvelles et sans job l'espace d'un temps. C'est lors de quelques jours de repos passait auprès de mon vieux père qui ne peux plus travailler maintenant que ma vie repris un sens. Si j'avais choisit d'être un soldat c'était pour me battre au nom de la justice, me battre pour ce qui me semblez juste et surtout me battre pour tout ces gens qui compter sur nous. Je n'avais pas le droit d'abandonner, et puis ma fille est toujours là elle m’attend. Je rapporterai la paix dans ce monde et je changerai le cœur des gens pour elle.

C'est donc durant cette dernière année que je repris du service et du poil de la bête, j'étais tellement performant que je rattrapai facilement tout le temps que j'avais perdu à me retaper une petite santé. D'après mes supérieurs j'étais même sur la bonne voie pour devenir Lieutenant. J'aurais donc un meilleur salaire, de meilleurs primes et une plus grande classe ! J'étais toujours sur Dama Los sur South Blue avec la possibilité de me rendre facilement sur Grand Line, mais je préférai rester là un petit moment pour être sur d'éliminer toute menaces dans ce coin que j'affectionne tellement, ce coin qui m'aura vue naitre, grandir, me construire et maintenant conquérir. Bon j'avoue je m'y crois trop et je dois être vraiment emmerdant à écouter, mais j'espère que vous serez m'apprécier car vous risquez d'entendre parler de moi prochainement !